Gérer les addictions au travail

Accompagnement au développement de dispositifs de veille, de prévention des addictions et d’accompagnement des individus et des collectifs

Principe

Un accompagnement sur-mesure pour mettre en oeuvre un dispositif de prévention adapté à votre contexte

Z

Prérequis

Créer un consensus paritaire autour de la démarche

Quels enjeux ?

Les comportements addictifs au travail restent difficiles à appréhender et à gérer. Pourtant, ils sont à l’origine de nombreux effets pervers (accidents, inaptitudes, tensions collectives, absentéisme, etc.).

Une approche systémique de la question des addictions au travail permet de mettre en oeuvre un dispositif global donnant des marges de manoeuvre tant sur le plan curatif que préventif.

Quels objectifs ?

  • Formaliser les principes et le cadre d’intervention de l’employeur
  • Structurer un processus pour gérer et accompagner les situations d’addictions au travail
  • Formaliser le rôle et les limites de chaque acteur
  • Co-construire la boîte à outils du processus
  • Communiquer et sensibiliser l’encadrement et les équipes aux addictions au travail

Etapes de l’accompagnement

  • Formation obligatoire d’une journée des pilotes de la démarche afin de maîtriser un socle commun de connaissance sur la prévention des addictions au travail
  • Atelier de co-construction du dispositif de veille, d’orientation et d’accompagnement
  • Formalisation des outils : procédures, fiches réflexes, outils de remontée d’information, etc.
  • Formalisation du cadre éthique et déontologique du dispositif
  • Formalisation du rôle et des limites de chaque acteur interne
  • Identification des relais internes et externes (appuis techniques et financiers)
  • Co-construction d’outils de sensibilisation à destination des salariés et du management

L’accompagnement peut être complété par des temps d’information et de sensibilisation à destination des salariés et de l’encadrement.

 

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Addictions au travail

intervenant.e

Consultant.e expert.e de la veille sociale, du maintien dans l’emploi et de la prévention des addictions au travail.

durée

3 à 5 journées d’accompagnement en fonction du périmètre de l’intervention et des acteurs associés.

Contactez-nous pour en savoir plus sur cette démarche !

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Comprendre et prévenir la fatigue numérique (1/2)

Depuis la crise sanitaire, de nombreux travailleurs français ont dû adapter leurs habitudes de travail menant vers un usage massif du télétravail et des TIC. Ce phénomène a alors soulevé plusieurs problématiques dans le champ de la santé au travail dont, notamment, l’apparition de la fatigue numérique selon ses deux versants : la fatigue oculaire et la fatigue cognitive. 

Briser le « mur d’absurdité » au travail : entretien avec Thomas Simon

Dans un monde du travail en perpétuelle mutation, la qualité de vie au travail est au cœur des enjeux sociétaux. Mais au-delà des conditions de travail proprement dites, il est parfois utile de prendre un recul critique sur la culture et le fonctionnement des organisations et de s’interroger sur le sens de certaines pratiques. Il nous a donc naturellement semblé pertinent de recueillir un regard différent.

Thomas Simon est enseignant en Gestion des Ressources Humaines (GRH) à ESCP Business School, campus de Paris et réalise une thèse sur les jeunes diplômés et leurs réactions face à l’absurde en entreprise. Dans ses travaux, il analyse les pratiques managériales et les non-sens dans lesquels elles peuvent tomber. Il a accepté de nous faire part de sa vision du monde du travail et de questionner la dialectique entre la philosophie et les sciences de gestion.

Agir face aux discriminations systémiques

Le Défenseur des droits reconnaît aujourd’hui 20 critères de discriminations dans le domaine de l’emploi, du logement, de l’éducation et de l’accès aux biens et services : l’âge, l’apparence physique, l’appartenance ou non à une ethnie, l’appartenance ou non à une nation, l’appartenance ou non à une race, l’appartenance ou non à une religion déterminée, l’état de santé, l’identité sexuelle, l’orientation sexuelle, la grossesse, la situation de famille, le handicap, le patronyme, le sexe, les activités syndicales, les caractéristiques génétiques, les mœurs, les opinions politiques, l’origine, le lieu de résidence.

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Au cours de la dernière décennie, le droit français a multiplié le recours à la notion de « référent » en pour faire évoluer les pratiques des employeurs dans divers domaines en lien avec la santé et la qualité de vie au travail.

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