Le Blog QVT

Les clés théoriques et pratiques pour les professionnels de la qualité de vie au travail

Une initiative citoyenne d’AD CONSEIL, entreprise sociale et solidaire

QVT : Créer une veille scientifique et technique de qualité

QVT : Créer une veille scientifique et technique de qualité

La toile foisonne de ressources sur la qualité de vie au travail. Le moins que l’on puisse en dire est qu’elles sont d’une qualité et d’une fiabilité extrêmement variable.
Parallèlement, l’enjeu que représente la qualité de vie au travail impose aux grandes organisations une veille scientifique et technique de plus en plus ciblée pour identifier les innovations les plus adaptées à leurs besoins.
Où chercher des informations ? Comment évaluer leur crédibilité ? Cet article se penche sur les clés pour créer une veille scientifique et technique de qualité.

Préserver la qualité de vie au travail à l’ère de l’intelligence artificielle

Préserver la qualité de vie au travail à l’ère de l’intelligence artificielle

L’usage d’algorithmes d’intelligence artificielle (IA) comme outils de gestion de la productivité se généralise dans de nombreux secteurs d’activité. Ce management opéré par l’IA a des conséquences sur la santé et la qualité de vie au travail. La question de la régulation des IA au travail s’impose donc aujourd’hui. Cet article revient sur ces enjeux et propose des perspectives pour une IA plus respectueuse de l’intégrité des femmes et des hommes au travail.

Semaine de la QVT : et si nous reparlions de dignité au travail ?

Semaine de la QVT : et si nous reparlions de dignité au travail ?

Elle arrive à grands pas : comme chaque année depuis 18 printemps, l’agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (ANACT) lance la semaine pour la qualité de vie au travail. Cette édition 2021 se tiendra du 14 au 18 juin. C’est l’occasion pour une partie du monde du travail de partager des « bonnes pratiques » pour améliorer la QVT, sur des sujets pour le moins consensuels.

Pour cette édition de la SQVT, l’ANACT a choisi le thème « travailler ensemble » parce qu’« après plus d’un an de crise sanitaire, on n’a jamais eu autant besoin de s’appuyer sur des coopérations solides, d’échanger collectivement sur le travail et d’organiser l’activité de façon efficace ». Ce choix peut légitimement interpeller. Certes, la crise sanitaire a questionné les collaborations. Mais elle a aussi mis sous tension, isolé, confronté des collectifs de travail à des situations d’exception, et précipité des individus et des organisations dans l’incertitude et la précarité. Encore une fois, les plus fragiles – éphémères travailleurs essentiels – en ont pâti et continuent d’en subir les conséquences. Aujourd’hui, force est de constater que le « travailler ensemble » tend à devenir un luxe pour celles et ceux qui ont la latitude de plus en plus rare de questionner et de remodeler leur travail.

Le présentéisme en cas de maladie : quand l’investissement devient dangereux

Le présentéisme en cas de maladie : quand l’investissement devient dangereux

La DARES rapportait en août 2020 que chez les français, plus d’un jour de maladie sur quatre (27 %) s’est traduit par du présentéisme, c’est-à-dire par le fait d’aller travailler alors que l’on est malade. Par ailleurs, si 42% des salariés européens auraient fait au moins un jour de présentéisme au cours de l’année 2015, ce taux monte à 62% pour les salariés français. Ce constat fait de nous les champions du présentéisme en Europe.

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