
Enquêtes harcèlement : un travail d’avocat ou de psychologue ?
Deux choix d’intervenants se présentent alors généralement à l’employeur : le psychologue et l’avocat.
Le recours à l’un ou l’autre détermine le prisme à travers lequel l’enquête sera menée. Ce choix n’a donc rien d’anodin. Qu’en est-il dans faits ? Et de quelle légitimité peut se prévaloir le psychologue ou l’avocat ? Et comment les associer pour optimiser leurs champs de complémentarité ?